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Decentralized Democracy

Lucille Collard

  • MPP
  • Member of Provincial Parliament
  • Ottawa—Vanier
  • Ontario Liberal Party
  • Ontario
  • 237 Montreal Rd. Vanier, ON K1L 6C7 LCollard.mpp.co@liberal.ola.org
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  • Government Page
  • May/29/24 11:10:00 a.m.

La semaine dernière, j’ai rencontré un avocat francophone à mon bureau de Vanier qui s’est déplacé de Glengarry–Prescott–Russell pour me faire part de multiples exemples décrivant de sérieux manques de services en français à la Commission de la location immobilière—je parle du Landlord and Tenant Board—des histoires d’Ontariens qui ne parlent que le français, mais qui voient leur dossier confié à un adjudicateur unilingue, anglophone, ou des francophones qui sont accusés de créer des délais simplement parce qu’ils demandent des services en français.

La réalité sur le terrain, c’est que chaque jour, la commission viole les droits linguistiques des Franco-Ontariens. Le fait d’être francophone ne devrait pas mettre en péril leur droit à l’accès à la justice.

Donc, ma question pour le procureur général : que fait ce gouvernement pour assurer que dans les 26 zones désignées par la Loi sur les services en français les francophones puissent réaliser leur droit à une audience en français?

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  • Apr/11/24 11:00:00 a.m.

Ma question, en français, s’adresse au ministre de l’Éducation. La population des écoles francophones est en forte croissance depuis des années, surtout comparée aux écoles anglophones, mais la construction de nouvelles écoles ne suit pas le rythme. Je dirais même que c’est très loin de là.

Dans son dernier budget, le gouvernement a annoncé la construction de 1 022 places en français. Mais selon le Bureau de la responsabilité financière de l’Ontario, ça ne suffira même pas à couvrir l’augmentation des inscriptions juste pour cette année, donc encore moins à rattraper les importants retards.

Le 4 avril, le ministre de l’Éducation a annoncé la somme de 1,3 milliard de dollars pour la construction et l’agrandissement de 60 écoles. Donc, ma question au ministre est très simple : combien d’écoles francophones seront-elles construites avec ce financement?

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  • Oct/4/23 10:30:00 a.m.

Je voudrais souhaiter la bienvenue aux membres de l’Association franco-ontarienne des conseils scolaires catholiques, également des anciens collègues de travail. Bienvenue à Queen’s Park.

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  • Mar/9/23 11:40:00 a.m.

Point of order.

While I didn’t have to stand today to ask for unanimous consent on anything, I would like to take this opportunity to remind the House that two years ago, almost to this day, we all agreed and voted in favour of having the Franco-Ontarian flag displayed permanently in the Legislative Assembly of Ontario as a reminder of the important symbol and the importance of our Franco-Ontarian community. I think it’s a moment we can all be proud of. So thank you very much. Merci à tout le monde.

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  • Mar/6/23 10:30:00 a.m.

C’est le Mois de la Francophonie et cette semaine nous soulignons aussi la Journée internationale des femmes.

La semaine dernière, j’ai eu l’opportunité de travailler dans un cadre qui combinait ces deux thèmes, soit la francophonie et les femmes. Ainsi, j’ai participé à la réunion du réseau des femmes de l’assemblée des parlementaires francophones. Ce fut une expérience des plus enrichissantes de représenter l’Ontario à cette conférence qui rassemblait des représentants de plusieurs pays, dont la Côte d’Ivoire, le Niger, la Roumanie, la France, la Belgique, la Nouvelle-Calédonie, le Cambodge, le Cameroun et le Maroc, qui était l’hôte de ce rassemblement.

Les discussions approfondies que nous avons eues ont certes révélé que le Canada et l’Ontario ont fait des progrès sur les questions importantes telles que le harcèlement, la discrimination basée sur le sexe et la place des femmes au Parlement. En tant que chef de file, l’Ontario doit continuer d’avancer dans les domaines importants comme la traite de personnes, qui est malheureusement une réalité partout dans le monde.

Il y a deux semaines, cette Assemblée a voté en faveur du projet de loi 41, qui, si adopté, pourrait mieux soutenir les survivantes de la traite de personnes ici en Ontario. J’espère que tous les membres de cette Assemblée feront le nécessaire pour assurer que ce projet de loi important reçoive rapidement la sanction royale.

À toutes les femmes et tous les Franco-Ontariens, je souhaite une semaine et un mois de réflexion sur comment nous pouvons ensemble trouver des solutions à nos défis.

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  • Dec/6/22 4:00:00 p.m.

Thank you, Madam Speaker. I just want to advise that in keeping with the spirit of the standing orders, we have reduced our speaking time to five minutes as a group.

Madame la Présidente, j’apprécie vraiment que le gouvernement fasse des efforts pour changer l’opinion qu’ont les francophones de ce gouvernement quand on parle d’appui à nos communautés francophones. Mais les francophones n’ont pas oublié les coupures dévastatrices de ce gouvernement dans les services francophones. Et malgré certaines mesures avancées par le gouvernement depuis, nous n’avons toujours pas rattrapé le retard.

Je vais donc aujourd’hui présenter un récit qui vise à apporter un peu plus de compréhension sur les défis de la communauté franco-ontarienne. C’est important parce que les francophones à travers la province se sentent laissés pour compte.

Les conseils scolaires ont un grand déficit au niveau des infrastructures scolaires, qui ne répondent pas aux besoins des familles désirant faire instruire leurs enfants en français. Les inscriptions dans les écoles francophones augmentent à un rythme plus élevé que dans les écoles anglophones; pourtant, les investissements en infrastructure ne reflètent pas cette réalité.

L’impact réel est que des parents francophones font le choix difficile d’inscrire leurs enfants dans une école anglophone plutôt que de les envoyer dans un système francophone sous-financé.

Ce phénomène se produit aussi en région alors que les parents choisissent une école anglophone qui est à proximité plutôt que d’imposer à leurs enfants un long trajet en autobus pour se rendre à la seule école francophone du coin.

La croissance de la demande pour l’éducation française nécessite plus de travailleurs francophones en éducation. Les efforts pour adresser la grave pénurie de main-d’oeuvre ne sont malheureusement pas suffisants, parce que les recommandations fournies par le groupe de travail que le gouvernement a mis lui-même sur pied ne sont tout simplement pas mises en oeuvre.

Comme l’éducation est la racine de notre société, c’est là où l’on devrait investir le plus si l’on veut pouvoir combler les besoins en main-d’oeuvre francophone dans toutes les sphères de notre société—en éducation, oui, mais aussi en santé et dans les services juridiques, entre autres.

Tous ces enjeux d’accès à des services essentiels qui peuvent être pris pour acquis pour le reste de la population sont des questions non seulement qui compliquent la vie des Franco-Ontariens, mais qui leur causent souvent des préjudices irréparables.

J’encourage donc le gouvernement à continuer et ouvrir encore plus le dialogue avec la communauté francophone pour mieux comprendre comment agir afin que les Franco-Ontariens ne se sentent pas laissés pour compte. Je suis à votre disponibilité pour faciliter cet engagement.

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