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Decentralized Democracy

Ontario Assembly

43rd Parl. 1st Sess.
November 22, 2023 09:00AM

C’est toujours un plaisir de me lever pour parler du projet de loi 149. Surtout, quand on parle de travailleurs ou de projets de loi qui adressent ou qui disent—je devrais bien mettre le—il faut le dire très fort, là : qui disent qu’ils travaillent pour les travailleurs. Mais qu’est-ce qui arrive? Ce que le monde ne sait pas, c’est que le gouvernement, souvent—nous, on propose beaucoup de propositions et beaucoup de projets de loi pour améliorer les conditions des travailleurs. On entend souvent le gouvernement dire que l’opposition officielle vote toujours contre des projets de loi, vote toujours contre des projets de loi. Mais je peux vous dire : le sentiment est mutuel quand ça vient à l’opposition officielle et qu’on se fait dire non à des propositions qu’on fait pour améliorer des projets de loi et pour aider les travailleurs.

Parce que, vous le savez et tout le monde sait, le NPD, c’est un parti qui a été fondé par les travailleurs. On va tout le temps être là pour travailler et pour les supporter, les travailleurs, sans exception. Dans les faits, non seulement le NPD a mis plus de législation de l’avant pour protéger et améliorer les conditions des travailleurs, mais en plus—comme j’ai dit—les conservateurs votent souvent contre.

Pour donner un exemple, on a mis souvent la proposition anti-scab dans la législature pour des projets de loi pour protéger—puis on le sait; c’est démontré. Il y a bien des pays et il y a bien des places qui l’ont, l’anti-scab. Ça aide. Moi, je le sais; j’ai négocié pendant 22 ans pour les métallos. Je travaillais avec les employeurs, et je le disais souvent : n’importe quel imbécile—si je peux user du terme en Chambre—peut négocier une grève; n’importe lequel. Ce n’est pas plus compliqué que ça, monsieur le Président : tu dis non à toutes les propositions. Mais, moi, quand j’ai commencé dans le domaine, je me souviens, c’était Normand Rivard, qui était un de mes mentors, qui me dit : « Guy, le bon négociateur, ce qu’il va faire, lui : il va trouver des solutions. » C’est facile de dire non. N’importe quel imbécile—comme j’ai dit—peut dire ça.

Mais je peux vous dire que, des fois, même si on trouve toutes les solutions, veux, veux pas, les deux parties ne sont pas capables de s’entendre. Mais on sait que c’est rare que ça arrive—tu sais, la grève. On parle de grève, on parle de grève—mais ça n’arrive pas très souvent. Les conventions se font sans grève. Pourquoi? C’est un petit pourcentage, parce que 95 % des conventions se règlent—95 % ou 97 %?

Mais quand les deux parties ne sont pas capables, puis que l’employeur va chercher les scabs, comme on les appelle, ou des travailleurs qui traversent la « picket line », ça détruit une relation de travail. Pas juste pour un an—je peux vous dire que ça détruit des relations de travail pour des générations. Ça prend beaucoup de travail pour la ramener à une relation de travail où les parties puissent se re-faire confiance. La confiance, la crédibilité se bâtit, mais elle se défait dans un clin d’oeil.

Quand on propose des projets de loi anti-scab, c’est ce dont on a besoin dans notre province. Ça déchire des communautés—il faut le dire, là, parce que, veux, veux pas, quand tu es une communauté de 5 000, 6 000, tout le monde se connaît. Quand l’employeur va faire venir une agence pour traverser, ou engager des gardes de sécurité, je peux vous dire que la communauté est tout le temps derrière le travailleur. Pourquoi? Parce que trois quarts du temps, on a une industrie, et ça affecte tout le monde.

Mais pourquoi? Je ne comprends pas pourquoi on est ardus à être contre ce projet de loi quand on sait que ça réglerait—puis quand tu as une grève de même, puis que tu as ce projet de loi, là, ça règle beaucoup, parce que, là, ils ne pourraient pas aller chercher des travailleurs qui vont étirer la grève.

Je pense encore à Cochrane. C’était les travailleurs de la ville. Le maire et le conseil ont décidé d’engager des scabs. Avez-vous pensé comment ça déchire une communauté de, peut-être, 3 000 personnes, comment c’est déchirant pour une communauté? À la place, de dire non—si on avait un projet de loi de même, ça dirait : « Non, les parties, vous n’avez pas le choix. Vous vous asseyez. Vous trouvez—parce que sinon, il n’y a pas de gagnant. »

Je trouve que ce sont ces projets de loi-là qui font une différence pour arrêter le déchirement entre des communautés, ou même entre les employeurs et employés—puis que les parties n’ont pas le choix : il faut qu’ils s’assoient pour trouver des solutions, parce que l’employeur ne peut pas prendre l’abus du pouvoir et aller chercher des travailleurs—disons, des scabs, comme on les appelle—pour venir remplacer, des remplacements de travailleurs, puis qu’ils viennent faire le travail, puis que ça déchire des communautés et que ça déchire des relations de travail, qui sont très dures à rebâtir.

J’essaie de passer encore le Bill 76, « respecting workers for health care ». Encore, si on se souvient, il y a eu aussi le projet de loi 124. Le gouvernement a voulu—il a passé un projet de loi, ils l’ont amené en cour, et ils ont perdu. C’était anticonstitutionnel, monsieur le Président. Puis encore, ils s’acharnent. Même s’ils ont perdu la décision, ce n’est toujours pas réglé.

Les travailleurs de santé : je me souviens, quand on est rentrés en pleine pandémie, on les considérait des héros. Tout le travail qu’ils font—on les reconnaissait. On le leur disait. Je me souviens. Le monde faisait des enseignes partout. Mais on a un gouvernement qui a voté contre un projet de loi pour dire de respecter les travailleurs de santé. Pourquoi? Parce que ça vient de notre bord?

Si on le passe, après ça, il s’en va au comité. On va le travailler pour refléter les choses que vous demandez, où vous trouvez qu’il manquait des affaires dans le projet de loi. Pareil comme quand on supporte des projets de loi du gouvernement. On n’est pas tout à fait d’accord, mais on sait que ça s’en va en comité et qu’on a une chance, au moins, de faire des propositions pour l’améliorer. Même là, il y a des projets de loi auxquels on a apporté au-dessus de 100 amendements, puis encore. Il ne faut pas oublier : ces amendements-là qu’on veut amener à un projet de loi viennent des « stakeholders », viennent des personnes qui travaillent dans les domaines qui viennent nous voir. Ce sont les mêmes personnes qui vont voir le gouvernement, en passant. Elles viennent parler au comité pour améliorer le projet de loi. Qu’est-ce qui est bon? Qu’est-ce qui n’est pas bon? Comment ça les affecte? Nous, on amène ces recommandations-là quand le gouvernement ne traite pas avec, puis ils votent contre.

Fait que, c’est un projet de loi pour respecter les travailleurs en santé. On a un projet de loi où le gouvernement dit : « On travaille pour les travailleurs. » Je pense que c’est, quoi, le troisième ou le quatrième projet de loi qu’on travaille qui propose d’aider les travailleurs? Mais à toutes les fois que nous, on amène de quoi pour améliorer pour les travailleurs, ils sont contre. C’est qui, qui est contre les travailleurs, là? La question se pose.

Je vais vous donner un autre exemple. Je viens du syndicat. Je le sais; j’ai travaillé là-dedans. Tu sais quand tu signes—disons que t’achètes une maison. Tu vas signer pour dire que si tu ne fais pas tes paiements, ou ton « mortgage », ça veut dire—écoute, ta signature, elle dit : « Monsieur, tu peux perdre ta maison. C’est ta signature. » Ou, encore un autre exemple : tu fais ton testament. Monsieur le Président, je peux te dire, quand tu fais ton testament, tu signes, et la signature dit qu’il faut que tu respectes le testament de la personne qui est décédée. La signature est bonne.

Mais, je vous demande, monsieur le Président, pourquoi la signature, quand ça vient à signer une carte d’union—on appelle ça une carte d’union—pour dire que moi je supporte le syndicat, même si le syndicat, quand il fait une « drive » pour essayer de syndiquer le lieu de travail où il n’y a pas de syndicat—même si 100 % des employés signent pour dire qu’ils sont en faveur du syndicat, il va y avoir un vote. Puis on sait, durant cette période-là, que les deux parties ne peuvent plus s’ingérer. Mais l’employeur, encore, il a le droit de payer ses employés, puis il y a de la magouille qui se fait. Ça, on le sait tous. Souvent, ça s’en va jusqu’au ministère du Travail. Mais pourquoi, quand ça vient à ta signature pour tout le reste, elle est bonne? Ça veut dire que tu l’as signé et tu vis avec les conséquences. Mais, par exemple, pour rentrer dans un syndicat, ta signature ne compte pas. Où est-ce que ça fait du sens? C’est encore des attaques contre les syndicats qui essaient d’améliorer les conditions de travail des employés.

Même, si 60 %, 80 %, 90 %, 100 % des employés ont signé—parce qu’on l’avait avant, hein? On l’avait, en province, que tu avais la certification. Tu avais 51 %, et c’était une certification automatique. Pourquoi on n’est pas là encore? Pourquoi le gouvernement dit qu’il travaille pour les travailleurs mais n’amène pas un projet de loi pour dire : « Non, ta signature compte autant que n’importe quoi »? Mais, pour un syndicat, on ne le fait pas.

Encore, je regarde « Respecting Injured Workers Act ». On parle encore du, on dit, « deeming » quand ça vient à la compensation. On essaie de l’améliorer. Écoute, ils vivent sous le seuil de la pauvreté. Il y a trop de travailleurs qui sont blessés au travail et qui ont de la misère à vivre. Pourtant, il y avait des gros surplus, là. Il y avait des gros surplus en compensation. Puis, qu’est-ce que le gouvernement a fait? Il a pris des millions de dollars, puis il les a retournés à l’employeur.

Mais on a vraiment oublié le concept de ce que—la compensation a été créée. C’était la compensation avant, pour le monde qui ne le sait pas. C’est que la personne qui se blessait avait le droit d’actionner son employeur. Puis là, ils ont créé la compensation pour être capable de dire : « Non, il va y avoir un fonds remis. Il va y avoir une structure. » L’employé qui s’est blessé n’a plus le droit d’actionner l’employeur, mais il va y avoir un processus qui est là pour être capable de compenser l’employé qui s’est blessé. C’est passé. Je me souviens qu’en 1999, par exemple, quand c’est rentré, on a changé ça pour « Workplace Safety and Insurance Board ». Tout d’un coup, il y a le nom de l’assurance là-dedans—qui est venu de Mike Harris, en passant. Le gouvernement conservateur, il a changé le concept.

Puis là, on est rendu à : les travailleurs qui se blessent sont obligés d’aller se rendre jusqu’au tribunal d’appel. Et aller au tribunal : tu te fais dénier, tu te fais dénier, tu te fais refuser ta « claim ». Puis là, c’est rendu que toutes les « claims », quasiment, sont refusées, puis tu es obligé d’aller au tribunal pour justifier—même si c’est un support médical. J’en ai fait, de la compensation. J’ai plaidé la compensation et je peux vous dire que ces travailleurs-là souffrent. Ils ont le support médical, puis encore ils se font refuser.

Ça a donné que, la semaine passée, on a rencontré l’association des policiers de l’Ontario. Je sais, probablement tout le monde a eu des rencontres avec les policiers. Mais les policiers, qu’est-ce qu’ils nous disaient? C’est qu’ils ont beaucoup de « PTSD ». On ne réalise pas—et le gouvernement, je pense qu’ils oublient ce que les policiers passent à travers. Je suis convaincu qu’aucun de nous autres va voir des choses ou des horreurs qu’ils voient quand ils arrivent sur un accident ou qu’ils sont mis dans une situation où ils sont obligés de sortir leur arme ou réagir. Des fois, ils ont des fractions de secondes pour agir et ça change la vie. Ça change leur vie pour toujours—pas juste eux autres, mais aussi à leur famille.

Là, tu as le « PTSD » qui rentre en chose. Mais ils nous disent encore que même s’ils ont été acceptés, qu’ils ont le support médical qui dit qu’ils ont du « PTSD », ils se ramassent encore à aller en appel jusqu’au tribunal. C’est ça qu’ils me disaient—ce ne sont pas mes paroles, mais c’est le groupe que j’ai rencontré—que bien de leurs membres se suicident—se suicident.

On a du monde qui nous protège et qui mettent leur vie en danger. Puis encore, ils se font refuser pour du « PTSD » quand ils ont tout le support médical. Pourquoi? Pourquoi, quand ça vient à une situation comme ça, ils sont obligés de vivre ça et ils sont obligés de venir nous lobbyer et venir nous rencontrer et dire : « Écoute, il faut que ça change. Nos membres se tuent parce qu’ils n’ont plus de porte et ils ont déjà assez à traiter avec toutes les horreurs qu’ils ont vues ou qu’ils vivent parce que, soit ils ont usé de leur arme ou ils sont arrivés sur un accident qui a changé leur vie, et ça, à force d’en voir, ça change des vies. » Je pense qu’on est tous humains. On n’est pas fait de roche. Ça affecte, à long.

Dans une situation de même, quand ces personnes-là, que ça soit des policiers ou encore des paramédics—toutes les personnes qui font face à cette situation—une fois qu’ils ont le support médical, il n’y a aucune raison que ça soit refusé. Parce qu’il y a un processus. Il y a des spécialistes qui les ont diagnostiqués. Pourquoi est-ce qu’on refuse encore ces policiers?

Moi, je connais un individu—je ne nommerai pas son nom. C’est un paramédic. Il a été paramédic toute sa vie. Il pensait qu’il y avait des taches sur le cerveau. Il pensait qu’il avait le cancer. Mais avec plus de recherche—c’est ce qu’il me disait—ils ont découvert que « toutes les choses que j’ai vues, auxquelles j’ai été exposé : aller chercher des personnes qui sont décédées dans des accidents d’auto, des enfants et tout »—à long, ça l’a affecté. Il n’est plus capable. Il est sur le long terme, parce qu’il n’est plus capable de faire son travail. Il est sur la compensation parce qu’il n’est plus capable de faire son travail.

Fait que, ce monde-là, qui sont refusés—et pensez qu’en plus de traiter avec toutes les émotions et comment ça affecte leur vie, le « PTSD » et tout, ils sont obligés de passer à travers un autre processus juste pour faire accepter, pour faire reconnaître qu’ils ont été impactés, et ils ont le support médical pour dire : « Tu ne peux plus faire ton travail parce que tu as vécu trop de traumatismes dans ta vie. » Pourquoi on leur fait subir ça? Puis on dit qu’on travaille pour les travailleurs? C’est ridicule.

On parle aussi, tu sais, quand on a eu la pandémie, on voulait que le monde reste à la maison. « Stay at home if you are sick. » Ça, c’était en pleine pandémie. Ils ont voté contre. On parle du projet 121. J’en ai parlé. Les quatre jours—« four-day workweek »—ils ont voté contre. On amène des propositions au gouvernement. On demande au gouvernement de les supporter—puis ça, ça vient des travailleurs. Ce n’est pas nous autres qui les inventent, ces affaires-là. Puis encore, ils votent contre.

On pense aux travailleurs digitaux. Je pense à ma collègue, notre whip de—j’essaie de penser de quelle—de London West. Notre whip de London West en a parlé cette semaine, de comment on a une responsabilité, le gouvernement a une responsabilité de mettre—ils sont les seuls qui ont des conditions de travailleurs des autres travailleurs. Expliquez-moi ça, vous autres. Un travailleur, c’est un travailleur. Quand je vais à la chasse, moi, et que je vois un orignal, qu’il ait un panache ou qu’il n’ait pas de panache, c’est encore un orignal.

Mais pourquoi, quand ça vient aux travailleurs, on va créer d’autres lois ou d’autre législation pour qu’ils ne soient pas couverts comme les autres travailleurs? C’est incomprenable, ça, madame la Présidente. C’est incomprenable qu’on ait un gouvernement qui traite des travailleurs différemment que d’autres.

Je veux parler, justement, en étant porte-parole du ministère des Ressources naturelles. On a des gardes forestiers. J’ai posé la question cette semaine ou la semaine passée, à la fin de la semaine passée, sur les gardes forestiers. Pourquoi on ne les ajuste pas? Ça, on en manque. Les gardes forestiers, ils travaillent dans des lieux isolés. S’il y arrive de quoi, je peux te dire, ça prend du temps pour avoir de l’assistance de la police ou d’autres agences. Ils demandent juste d’être payé selon—puis, on le leur demande aussi, là. Ils sont obligés de porter une arme, et ils travaillent seuls, ce monde-là. Ils travaillent seuls.

Le gouvernement se traîne les pieds. Ils se cachent derrière les négociations—non. Il y a déjà du langage. J’écoutais le ministre qui nous disait, « Oh, on travaille là-dessus. On a un comité qui le regarde. » Savez-vous comment longtemps ça fait qu’ils le regardent? Ça fait plus de quatre ans. Je ne sais pas, moi. Quatre ans pour regarder pour un ajustement de salaire? Parce qu’ils l’ont; c’est déjà dans le—ils ont le droit de le faire, ils ont le pouvoir de le faire. Quatre ans—c’est acceptable, ça? Ce sont des employés qui travaillent pour le gouvernement. On leur demande de porter une arme, on leur demande d’avoir le même « training » que la police, on leur demande de faire leur travail, puis très souvent, ils sont dans des situations où ils sont seuls—t’arrives sur quelqu’un qui a « poaché », comme on dit en anglais, ou qui a tué illégalement un animal; des fois, ils ne sont pas tout seuls, je peux te le dire. Et lui, il arrive tout seul là et il dit, « Excusez, je viens de vous pogner. Vous allez être chargés. » Dans le milieu de nulle part, s’il arrive de quoi, comment vont-ils le trouver, cet individu-là?

Mais on leur le demande, et ils demandent juste d’être payés selon leur salaire, selon leurs qualifications. Ils demandent d’être payés pour le même travail qu’on exige, que ce soit d’un policier ou autre dans le même domaine. Ils veulent être ajustés selon leurs droits. Puis on a un processus, et le gouvernement se traîne les pieds, et on n’est pas capable de les payer adéquatement. C’est inacceptable.

Si on dit que c’est un projet de loi qui travaille pour les travailleurs, vous avez manqué le bateau, et pas à peu près.

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Merci au député de Mushkegowuk–Baie James. Vous avez parlé des travailleurs qui se blessent au travail. Mais il y a des gens qui travaillent aux restaurants et aussi dans les stations d’essence, et il y a plusieurs fois où le salaire est volé des employés, surtout quand il y a des gens qui dînent dans un restaurant, mais qui quittent sans payer leur facture. Dans ce cas, ce sont les travailleurs qui doivent la payer. Et aussi, dans les stations d’essence, aux pompes d’essence, si quelqu’un remplit leur voiture et ils quittent sans payer, c’est les employés qui doivent payer. Il y a de tragiques incidents où les travailleurs sont blessés ou même tués en essayant d’arrêter ces voleurs.

Qu’est-ce que vous avez à dire à ce sujet?

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